Bonjour à vous,
Au hasard de rencontres professionnelles, j’ai été assez perplexe devant les discours que j’ai entendus et les pratiques évoquées au sujet des risques psychosociaux. Aidant les dirigeants et les managers à se confronter à la conduite de leur action managériale, j’ai le désir de partager avec vous mes réflexions sur cette question complexe, dans un article intitulé « le management de la complexité ».
Au hasard de rencontres professionnelles, j’ai été assez perplexe devant les discours que j’ai entendus et les pratiques évoquées au sujet des risques psychosociaux. Aidant les dirigeants et les managers à se confronter à la conduite de leur action managériale, j’ai le désir de partager avec vous mes réflexions sur cette question complexe, dans un article intitulé « le management de la complexité ».
Paul Klee - Red Balloon
Vous savez que le législateur impose aux chefs d’établissements l’obligation de garantir la santé mentale et physique de leurs salariés, et que le management est devenu responsable de la santé des collaborateurs. Sans pour autant que les textes définissent ce qu’est la santé. Et d’ailleurs est-ce souhaitable de laisser ce rôle au législateur ?
Les problématiques évoquées par le législateur sont souvent le fait d’une parole opposée à une autre parole, et de mémoires différentes d’un vécu commun.
Comment les dirigeants, les managers, les Ressources Humaines, les syndicats, peuvent-ils faire face à leur obligation de résultat, dès lors que la notion de santé mentale fait largement appel à la subjectivité?
Je vous propose de réfléchir sur l’idée de santé mentale dans une approche invitant à la déconstruction des mécanismes de gestion habituels pour tenter de créer, au sein de l’entreprise, les conditions d’un mode relationnel sollicitant chacun en tant que sujet autonome. Il peut y avoir un troisième terme entre le mal être et le bien-être « complet», c’est la définition que donne l’OMS de la santé en 1946, définition qui n’a pas été revue. Bien des approches démagogiques parlant de « Bien Etre en entreprise » se sont engouffrées dans cette brèche.
Catherine Farzat aide les dirigeants et les managers à trouver leurs ressorts pour manager la complexité, à supporter l’incertitude, à se confronter aux aspérités du terrain, et à leurs propres aspérités…… Nécessité rendue obligatoire par la loi, mais également socialement, éthiquement, de par la crise profonde que nos sociétés occidentales connaissent actuellement.
Pour lire l'article "Manager la Complexité", cliquer ici'
Bonne lecture à vous.
Catherine Farzat
Les problématiques évoquées par le législateur sont souvent le fait d’une parole opposée à une autre parole, et de mémoires différentes d’un vécu commun.
Comment les dirigeants, les managers, les Ressources Humaines, les syndicats, peuvent-ils faire face à leur obligation de résultat, dès lors que la notion de santé mentale fait largement appel à la subjectivité?
Je vous propose de réfléchir sur l’idée de santé mentale dans une approche invitant à la déconstruction des mécanismes de gestion habituels pour tenter de créer, au sein de l’entreprise, les conditions d’un mode relationnel sollicitant chacun en tant que sujet autonome. Il peut y avoir un troisième terme entre le mal être et le bien-être « complet», c’est la définition que donne l’OMS de la santé en 1946, définition qui n’a pas été revue. Bien des approches démagogiques parlant de « Bien Etre en entreprise » se sont engouffrées dans cette brèche.
Catherine Farzat aide les dirigeants et les managers à trouver leurs ressorts pour manager la complexité, à supporter l’incertitude, à se confronter aux aspérités du terrain, et à leurs propres aspérités…… Nécessité rendue obligatoire par la loi, mais également socialement, éthiquement, de par la crise profonde que nos sociétés occidentales connaissent actuellement.
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Bonne lecture à vous.
Catherine Farzat