Vais-je (re)trouver (une place ?
Je ne peux pas occuper cette place, car .... (je n'ai pas le sentiment d'être légitime .... Mon N+1 ne m'y a pas mis, etc...)
Entre la place que je me donne , celle que l'on me donne, celle que je convoite (une place privilégiée... celle de l'autre, celle du pauvre... etc....), où suis-je ?
Je suis adaptable, je me fonds dans le décor - justement là est le problème : d'où vient cette extrême plasticité qui fait que je n'ai pas de place ?
Je me suis fait prendre ma place, et depuis je ne vais pas bien....
Suis-je fait pour me conformer à la place que j'occupe ?

Bien au-delà des compétences que l'on a ou pas, ces questions touchent des champs aussi importants que ceux de l'autonomie, de la légitimité, de l'identité professionnelle, de la valeur que l'on se donne et que l'on nous donne (pour l'article "image de soi, estime de soi", cliquer ici. Pour l'article "ma relation à l'argent", cliquer ici).

Elles peuvent également concerner des sujets aussi différents que les rapports entretenus avec nos modèles ou nos ascendants, notre sentiment d'imposture ou nos impostures réelles, notre trajectoire familiale et sociale, le domaine des rivalités et de la manipulation, la manière dont une place s'est transmise, et à quel prix (voir transmission d'entreprise, cliquer ici)

Ces questions, tout dirigeant, toute personne en charge directe ou indirecte du management des hommes ne peut les contourner.

Les accompagnements de Catherine Farzat vous proposent de vous aider à démêler ces questions, au croisement de l'affectif et du social.


"on ne dira jamais assez que le social n'est pas que du social (extérieur, rationnel, conscient), mais qu'il est très intime, que ses répercussions sur la psyché sont tout aussi définitives et blessantes que les traumatismes sexuels ou affectifs : le social peut être le lieu d'une violence dont les conséquences émotionnelles sont multiples". Belinda Cannone